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English to French: An evolving role for law and lawyers in development
Source text - English An evolving role for law and lawyers in development
The World Bank’s new mission to end extreme poverty and boost prosperity on a livable planet is inextricably linked to the Rule of Law. The concept of “Rule of Law” has long been variously defined and applied in contexts ranging from commercial law to human rights. In the area of sustainable economic development, Rule of Law can be understood as an ecosystem of institutions that enact, implement and apply just laws fairly, consistently, efficiently, transparently and ethically. Laws and their implementation are the essential link between policies aimed at reaching the goals of the sustainable development agenda and the actual realization of that agenda.
In the field of development, the roles for law and strong institutions are never larger than in the concept of “sustainability.” Sustainability embodies the principles of inclusion, covering the equal engagement of women in the workforce, the inclusion of marginalized groups and communities and pathways for the young through education and opportunities. There is growing awareness within the global legal community that sustainability and Environmental and Social Governance (ESG) are not only a matter of good practice, but the subject of binding regulations. To be sustainable, development policies must include prudent fiscal management, the cultivation of human capital, and environmental and social safeguards that take account of future generations’ needs for a livable planet by responsibly managing the impact of development activities and the use of natural resources. Sustainability also means that infrastructure, healthcare and other social systems must be designed to absorb shocks from economic upheaval, civil unrest and violence, pandemics and natural disasters.
It's a tall order, made more challenging by the unique confluence of poly-crises that are now threatening development agendas across the world: geopolitical conflict, violence, fragility, inflation, supply chain disruption, food crises, challenges of climate change, under-serving healthcare and education systems and the under-achievement of the Sustainable Development Goals (SDGs). Beyond the massive financing needed to achieve the SDGs, the Bank estimates that it will take an average of US$2.4 trillion per year between 2023 and 2030 to address the global challenges of climate change, conflict, and pandemics in developing countries. At the same time, many countries are facing fiscal constraints and the prospect of debt distress brought on by high debt, low growth, diminished tax receipts, currency devaluation, inefficient governance and policies incompatible with sensible solutions.
During its recent World Bank-IMF Annual Meetings in Marrakech, the World Bank has launched a new vision, mission and strategy to evolve to meet these challenges, that require also the international development community, for which the involvement of the private sector is indispensable.
Translation - French L’évolution du rôle du droit et des juristes en faveur du développement
La nouvelle mission de la Banque mondiale, qui consiste à mettre fin à l’extrême pauvreté et à favoriser la prospérité sur une planète vivable, est inextricablement liée à la question de l’Etat de droit. Le concept de « l’Etat de droit » a depuis longtemps été défini de diverses manières et appliqué dans des domaines allant du droit des affaires aux droits de l’homme. En ce qui concerne le domaine du développement économique durable, l’Etat de droit peut être considéré comme un écosystème d’institutions qui permettent de promulguer, mettre en oeuvre et appliquer des lois justes de manière claire, conforme, efficace, transparente et éthique. L’élaboration des lois et leur mise en oeuvre constituent le lien essentiel entre les politiques visant l’atteinte des objectifs du programme de développement durable et la réalisation effective dudit programme.
Dans le domaine du développement, le rôle que jouent les lois et des institutions fortes n’a jamais été aussi important que dans le cadre du concept de «durabilité». Il englobe les principes d’inclusion, notamment l’égalité des chances dans le monde du travail pour les femmes, l’inclusion des groupes et des communautés marginalisés et un avenir pour les jeunes grâce à l’éducation et aux opportunités. La communauté juridique mondiale est de plus en plus consciente du fait que la durabilité et la Gouvernance environnementale et sociale (ESG) ne dependent pas uniquement de bonnes pratiques mises au point, mais également d’une réglementation contraignante, Pour être durables, les politiques de développement doivent inclure une gestion judicieuse des taxes, la promotion du capital humain et la mise en oeuvre de sauvegardes environnementales et sociales qui prennent en compte les besoins des générations futures pour une planète vivable grâce à la gestion responsable de l’impact des activités de développement et l’utilisation de ressources naturelles. La durabilité suppose également que les infrastructures, les systèmes de santé et autres systèmes sociaux doivent être conçus pour contenir les chocs liés à des perturbations économiques, aux troubles civils et à la violence, aux pandémies et aux catastrophes naturelles.
Il s’agit là d’un défi de taille, rendu plus complexe par l’existence de polycrises qui font actuellement peser des menaces sur les programmes de développement dans le monde, notamment les conflits géopolitiques, la violence, la fragilité, l’inflation, la perturbation de la chaîne d’approvisionnement, les crises alimentaires, les enjeux du changement climatique, la défaillance du système de santé et du système éducatif et l’incapacité à réaliser les Objectifs de développement durable (ODD). En plus du financement important mobilisé en vue de la réalisation des ODD, la Banque mondiale estime qu’il faudra en moyenne 2400 milliards de dollars américains par an entre 2023 et 2030 pour faire face aux défis mondiaux liés au changement climatique, aux conflits et aux pandémies dans les pays en développement. Dans le même temps, de nombreux pays restent confrontés à des problèmes budgétaires et à la menace d’un surendettement en raison du niveau élevé de la dette, d’une croissance faible, de la diminution des recettes fiscales, de la dévaluation de la monnaie, de la mauvaise gouvernance et de politiques ne permettant pas de trouver des solutions adéquates. Lors des dernières Assemblées annuelles de la Banque mondiale et du FMI tenues à Marrakech, la Banque mondiale a partagé une nouvelle vision, une nouvelle mission et une nouvelle stratégie pour son évolution et pour venir à venir à bout de ces défis. Cette action nécessite également la mobilisation de la communauté internationale en faveur du développement et l’implication indispensable du secteur privé.
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Translation education
Master's degree - Advanced School of Translators and Interpreters
Experience
Years of experience: 11. Registered at ProZ.com: Jan 2023. Became a member: Jan 2024.